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G20YEA 2016 : ce que veulent les jeunes entrepreneurs

By août 29, 2016 No Comments

Capture d’écran 2016-08-29 à 18.41.33Une délégation de 32 jeunes dirigeants d’entreprises représentera la France au G20 des Jeunes Entrepreneurs 2016. Quelques jours avant leur départ pour Pékin, six d’entre eux ont confié aux Echos Entrepreneurs leurs objectifs et motivations.

Ils font partie de la délégation des 32 jeunes dirigeants de PME, ETI et start-up françaises qui représenteront la France à Pékin au 8ème sommet du G20YEA  (Young Entrepreneurs’ Alliance) des Jeunes Entrepreneurs. Ils rejoindront en Chine 400 entrepreneurs du monde entier du 8 au 10 septembre 2016, afin de remettre leurs recommandations en faveur de la croissance, de l’emploi et de l’innovation aux Chefs d’Etat du G20.

Des recommandations spécifiques à la France

Sélectionnés par Citizen Entrepreneurs, association représentante du G20YEA en France, les 32 entrepreneurs – dont 10 femmes –  qui porteront les couleurs de la France, remettront à Emmanuel Macron des recommandations spécifiques à la France, lors de la Conférence Annuelle des Entrepreneurs, le 14 novembre à Bercy.
Six jeunes entrepreneurs de la délégation française ont fait part aux Echos Entrepreneurs des motivations de leur engagement au G20YEA.

Anne-Cécile Worms, PDG de Art2M (Paris)

« J’ai été encouragée à déposer ma candidature par le club de femmes entrepreneures WBMI (Women Business Mentoring Initiative) fondé et dirigé par Martine Liautaud et je tiens à souligner le nombre de femmes entrepreneures dans la délégation française de cette année. Depuis l’investissement du fonds AXA Strategic Ventures en juillet 2015, je souhaite développer mes activités à l’international et en particulier en Chine. Je travaille dans le domaine de la vente d’art en ligne et la Chine est l’un des acteurs le plus dynamique du marché de l’art contemporain.J’espère rencontrer des partenaires potentiels pour développer une version chinoise de mon site ArtJaws, spécialisé notamment en art contemporain numérique. J’ai également lancé en 2014 un média en ligne sur l’innovation et le mouvement des « Makers », makery.info, et je souhaite identifier de nouveaux laboratoires de fabrication numérique chinois (Fab Lab, Maker Spaces…) pour compléter notre cartographie de plus de 750 laboratoires en France et à l’international. Dans les domaines de l’art et de l’innovation qui sont au centre des activités de ma start-up Art2M (Art to Machine), le réseau des fondateurs joue un rôle considérable pour développer les activités à l’export. »

 

Extrait – Article de Géraldine Dauvergne – Parution le 29 août 2016 – Les Echos Business